Les mensonges de Human Right Watch sur les affrontements à la frontière colombo-vénézuélienne – Mision VERDAD

Le rapport que l’ONG Human Rights Watch (HRW) a réalisé sur les derniers événements survenus dans l’état d’ Apure n’est pas surprenant, son animosité envers le Gouvernement vénézuélien est bien connue. Elle est le produit de la Guerre Froide et de son alignement sur le réseau de corporations qui dominent e monde.

Son dossier contre le Venezuela est épais et ses soi-disant investigations ne surprennent pas mais il faut souligner certains éléments qui permettent d’analyser la véritable guerre qui est en cours.

Le problème de la méthode, le mirage du sujet

Alors même que la plupart des sources d’information utilisées sont officielles, le discours et la récit sont tendancieux : ainsi, pour HRW, l’opération Bouclier Bolivarien n’est pas une opération de la force Armée Nationale Bolivarienne (FANB) et d’autres corps de sécurité dans l’exercice de la défense de la souveraineté nationale mais une « offensive réalisée dans l’état d’Apure le 21 mars 2021 pour soi-disant combattre des groupes armés qui opèrent au Venezuela. »

Le fait de présenter l’Etat comme l’agresseur et la défense de la souveraineté comme un exercice aux intentions douteuses ouvre la voie à l’absence d’une chose indispensable dans tout rapport sur les droits de l’homme : le recueil de preuves concernant les cas évoqués. La répétition d’expressions telles que : « il y a des indices… » ou « il existe des éléments… » est destinée à transformer un article d’opinion basé sur des histoires sans aucun élément contraire en rapport rigoureux. Cela fait planer le doute sur la véracité de n’importe quel événement au cours duquel l’Etat de Droit aurait été violé et d’éventuelles victimes auraient subi des préjudices.

D’autre part, l’expression « résidants d’ Apure » indique qu’il n’y a aucune précision ou qu’on ne veut en donner aucune sur les localités dans lesquelles auraient pu survenir ces événements et induit la vision d’un « état de siège » de tout un département. En ce qui concerne les villageois de la paroisse d’Urdaneta qui se sont rendus en Colombie en tant que « déplacés, » on n’utilise pas le mot « réfugiés » ou « personnes d’intérêt » qui sont les termes qui devraient être utilisés car c’est ainsi qu’ils devraient être qualifiés selon le droit international et la Convention sur le statut de réfugié de 1951.

Le fait que la Colombie est un pays en guerre et que le rapport de HRW affirme que « dans le département d’Arauca, Colombie, (…) l’accès à l’assistance humanitaire est limitée et trus souvent nul » attire l’attention. Il semblerait que la pénurie en Colombie d’infrastructures destinées à gérer les conséquences de la guerre permanente imposée par son oligarchie soit de la responsabilité de l’Etat vénézuélien. En tout cas, la responsabilité de la Colombie dans le foyer de violence sur la frontière est occultée.

Mais la méthgode utilisée est peut-être ce qui est le plus contestable dans ce texte : il explique que 68 personnes ont été interrogées dans le département d’Arauca et par téléphone snas préciser combien ont été rencontrées et à combien on a téléphoné. Cette méthode rappelle le rapport de la Mission Internationale « indépendante » de détermination des faits sur le Venezuela de l’ONU réalisé en 2020 contrôlé à distance du Panamá.

Le mensonge des accusations sans fondement

Le rapport ne dit pas mais semble suggérer que les corps de sécurité vénézuéliens réalisent des attaques aériennes visant la population civile : « Les Vénézuéliens déplacés déclarent qu’ils ont fui à cause des fréquentes attaques aériennes et des combats entre les forces de sécurité vénézuéliennes et les groupes armés » et utilise à discrétion le mot « abus ». Il fait allusion à la recherche des individus armés sans mandat de perquisition alors que c’est une obligation de l’Etat de protéger un bien collectif immortant ainsiq ue la vie des soldats et des villageois lors des affrontements, ce qui donne déjà un caractère d’exception à cette procédure.

Un autre doute est suscité par le fait que si, quand HRW a interrogé les villageois, ceux-ci ont déclaré que « les individus arrêtés » n’étaient pas membres de groupes armés, cela laisse à penser qu’ils étaient guérilléros.

Le lien avec des accusations antérieures agit comme pivot pour mettre en relation les faits avec d’autres mécanismes de criminalisation en marche comme le rapport « indépendant » déjà cité et l’accusation devant le Cour Pénale Internationale (affaireVenezuela I) à propos de laquelle il n’y a eu aucun jugement. HRW établit une relation automatique en oubliant que le Gouvernement vénézuélien a demandé le soutien de l’ONU à cause de l’utilisation de mines anti-personnelles par les groupes illégaux d’origine colombienne, ce qui viole de nombreux accords internationaux.

Comme HRW part de la certitude d’une violation systématique des Droits de l’Homme par le Gouvernement vénézuélien (comme par tout gouvernement opposé aux Etats-Unis) elle recommande au procureur de la CPI et à la Mission « indépendante » d’analyser « l’éventuelle » responsabilité des autorités vénézuéliennes dans les faits supposés dont les preuves sont des appels téléphoniques et des photos d’origine encore non éclaircie.

Etonnamment, l’expression « trafic de drogues » n’est pas utilisée dans ce rapport et on n’y trouve rien sur des routes ou des cartels. Bien qu’il ne précise la nature ni de sa présence en territoire vénézuélien ni de son existence en Colombie, il nomme des groupes armés qui disent que « les forces de sécurité vénézuéliennes et d’autres autorités ont toléré des groupes armés qui opèrent à Apure et, à l’occasion, ont été de connivence avec eux, » et insinuent ainsi l’idée dangereuse de l’Etat qui héberge des narco-terroristes.

De plus, il établit ouvertement une soi-disant relation entre le Gouvernement vénézuélien et les groupes illégaux en accordant du crédit à des versions « d’organisations humanitaires et des Droits de l’Homme à Arauca et à des personnes interrogées des localités et des zones rurales d’ Apure » qui savent qui n’appartient pas à ces groupes.

HRW dénonce des arrestations soi-disant arbitraires à partir de déclarations de membres de familles et de la presse sans prendre en compte la situation d’affrontement armé et établit des critères semi-techniques à partir d’expertises évidemment intéressées sur des photos d’origine inconnue.

Un autre détail curieux est la discordance des chiffres concernant le nombre de personnes (ni déplacées ni réfugiées) qu’il rapporte : 4 500 personnes auraient fui et des autorités d’Arauquita « ont dit à Human Rights Watch» qu’environ 3 000 autres étaient chez des amis ou chez des membres de leur famille, 7 000 Vénézuéliens et Colombiens en tout. Mais le 19 avril les autorités colombiennes parlaient de 5 800 personnes que ce rapport ne classe dans aucune catégorie et disait qu’il ne précisait pas ce qui était arrivé à 1 700 autres.

Le rapport conclut en recommandant l’analyse d’exécutions et de responsabilités qu’il donne pour certaines alors que ce ne sont que des conjecture, des informations non contrôlées ni confirmées au point d’appeler « investigations » des exercices similaires réalisés dans le passé.

Ce n’est pas la première attaque contre le Venezuela

L’obsession de HRW contre la vérité du Venezuela s’est manifestée pour la dernière fois en mai 2020 quant son directeur pour les Amériques, José Miguel Vivanco, a affirmé que « les statistiques qui viennent du Venezuela sont absurdes et ne sont pas crédibles » et qu’il a ajouté : « Il n’est pas possible qu’il y ait un peu plus de 1000 cas de COVID-19 confirmés et 10 morts » tout en partageant un rapport sur le Venezuela soi-disant réalisé conjointement par cette ONG et des centres de santé publique, de Droits de l’Homme et de santé humanitaire de l’université Universidad Johns Hopkins (JHU).

Ce rapport que, parce qu’il venait d’une si prestigieuse institution,on espérait doté de statistiques et de données rigoureuses sur les affirmations qu’il fait, est en réalité plein de phrases comme « un docteur a dit » ou « un infirmier a raconté » sans donner de précisions dans la plupart des cas sur le lieu, le nom, la date ou toute autre information qu’on puisse vérifier.

Mais il a été cité par de nombreux médias du monde entier qui ont répété que l’école de médecine Johns Hopkins avait interrogé de nombreux médecins et infirmiers vénézuéliens pour ce rapport (également par téléphone) et affirme qu’une estimation conservatoire situerait le nombre de morts à cause du virus au Venezuela « à au moins 30 000. »

Il en vient à affirmer que le Venezuela deviendrait un risque pour les pays voisins à cause du nombre de Vénézuéliens qui quitteraient le pays en ce moment et ajoute que « l’impossibilité pour le Venezuela de faire face à la pandémie de COVID-19 pourrait inciter plus de personnes à tenter de quitter le pays. Cela ferait déborder encore plus les systèmes de santé des pays voisins et mettrait en danger plus largmeent la santé dans la région. »

Aujourd’hui, le Venezuela est victime d’une seconde vague causée par la mauvaise gestion de ses voisins du Brésil et de la Colombie qui sont parmi les 15 pays qui ont le plus grand nombre de morts par millions d’habitants (11,44 pour le Brésil et 8,59 pour la Colombie, le 27 avril). La première vague a provoqué le retour de plus100 000 Vénézuéliens qui fuyaient la xénophobie et l’absence de soins dont ils ont souffert dans les pays dans lesquels ils résidaient.

Les « marines » de l’intervention « douce » et leurs succursales

HRW est l’une des ONG les plus promptes à criminaliser les objectifs fixés par le 1% le plus riche de la planète. Dans ce cas, elle attaque le chavisme et le Gouvernement Bolivarien. Elle a joué le rôle d’adoucisseur des médias bien avant le Plan Guaidó, quand elle a cherche à incriminer les institutions vénézuéliennes en 2008 et le président de l’époque, Hugo Chávez, avait ordonné d’expulser Vivanco du territoire vénézuélien. 

Depuis, elle a renforcé son ensemble de « rapports » quand l’Assemblée Nationale précédente a installé l’idée de la « crise humanitaire » avec l’aide, justement, des mêmes ONG locales qui ont comme réseaux permanents de vocifération les « médias indépendants » (comme dit Elliott Abrams.)

Que HRW soit financée par le Congrès étasunien et par George Soros, qui, en 2010, lui a « donné » 100 000 000 de $ n’est pas sans importance. En outre, elle a eu dans sa direction le sénateur néoconservateur John McCain qui, en 2014, avait demandé à Obama d’intervenir militairement au Venezuela dans le cadre des guarimbas du plan « La Sortie  » et lui a consacré un mémorial lorsqu’il est mort.

Vivanco en personne a écrit une lettre à Luis Almagro pour demander à l’OEA d’invoquer la Charte Démocratique à nouveau sous la protection de la soi-disant séparation des pouvoirs publics qu’exige toute démocratie approuvée par les Etats-Unis. Il dit que le pouvoir judiciaire est « pris en otage par le chavisme » et rappelle que depuis 2004 l’organisation observe le Tribunal Suprême de Justice pour affirmer que c’est cette année-là qu’est apparue l’expression « absence d’indépendance. » A la suite, rappelle que la Charte a été appliquée à l’Equateur en 2005, et rappelle presque à Almagro toutes les étapes.

HRW non seulement a attaqué dans ses déclarations et dans ses rapports le pouvoir judiciaire et la loi organique du Tribunal Suprême mais elle a aussi défendu la chaîne putschiste RCTV et le financement illégal de la façade putschiste intitulée « Súmate » dirigée par María Corina Machado, en 2005. Bien qu’elle ait dénoncé le coup d’Etat de 2002, elle a donné son aval à la brève dictature de Carmona Estanga.

Même si l’ONG transnationale répand sur le monde sa propagande « faite à la maison, » c’est à dire à New York, celle qui assure ses arrières au niveau local, c’est PROVEA et le « journalisme indépendant » d’ El Nacional (qualifié de « presse locale » dans le rapport sur les événements d’Apure). L’idée de « crise humanitaire » a accompagné l’attaque d’une opération qui était également destinée à combattre l’insertion paramilitaire dans le pays : l’OLP. Les acteurs les plus importants de cette ONG y compris Rafael Uzcátegui, le représentant de PROVEA, se sont rendus à Washington DC et ont rencontré Almagro en 2016-2017. Absolument toutes les parties qui jouent à intervenir au Venezuela s’entendent non seulement sur leurs buts et leurs intérêts mais aussi à cause des financiers et des institutions qui les sougtiennent.

« Elles dépendent du financement étranger pour travailler de façon indépendante »

La façon d’agir de Vivanco contre le Venezuela concorde précisément avec ce que disait Soros en 2010 sur la National Public Radio PR, à propos de l’expansion de HRW stimulée par son gros don : « Les personnes qui réalisent des investigations ne seront pas nécessairement étasuniennes… Les Etats-Unis ont perdu la hauteur morale et cela a mis en danger leur crédibilité, la légitimité de la présence des Etasuniens à la tête de la défense des Droits l’Homme. »

Dans un communiqué intitulé « Le Venezuela doit révoquer le décret d’urgence pris par Maduro» publié en 2016, HRW prend parti pour la défunte MUD et les tentatives de coup d’Etat de l’Assemblée Nationale de l’époque à majorité anti-chaviste et attaque également la mesure du Gouvernement Bolivarien par la voie qui fait le plus mal aux grands financiers d’ ONG comme la NED, Freedom House et Soros même. Nous citons :

« Le décret d’urgence ordonne aussi au Ministère des Affaires Etrangères de suspendre tous les accords qui prévoient un financement étranger par des personnes ou des organisations quand « on présume » qu’ils peuvent être « utilisés à des fins politiques ou de déstabilisation de la République. » Dans un pays où les autorités ont accusé systématiquement des défenseurs des Droits l’Homme de déstabiliser la démocratie vénézuélienne, ce décret pourrait, en pratique, obliger d’importantes organisations non gouvernementales du pays qui dépendent du financement étranger pour travailler de façon indépendante à fermer leurs portes ou à réduire leur travail de façon drastique. » 

A cette occasion, jusqu’à 125 ONG vénézuéliennes et étrangères, y compris les visiteurs assidus de Washington DC comme PROVEA, le Centre des Droits de l’Homme de l’université catholique Andrés Bello, COFAVIC et Espace Public se sont exprimées contre la régulation du financement étranger de leurs activités politiques. Les alliés « vénézuéliens » de HRW sont aussi les amis d’ Almagro et du Département d’Etat.

Le nord de l’ingérence est l’intervention du nord

Les ONG comme HRW sur le plan international, et leurs succursales locales comme PROVEA sont des ressources asymétriques de la guerre non conventionnelle et des acteurs des révolutions de couleur qui recyclent le récit de « crise humanitaire » chaque fois que c’est possible. HRW est celle qui met réellement les cartes sur la table, qui mobilise les Droits de l’Homme au bénéfice de l’élite anti-Venezuela et met le doigt dans la plaie médiatique en cherchent une ingérence ouverte de puissances étrangères dans les affaires intérieures du pays.

Rien à attendre de Joe Biden qui soit différent des attaques de 2016 contre le Venezuela, encore moins de Duque (ou d’Uribe) parce que depuis longtemps, leur ligne de flottaison est de demander et de provoquer une intervention au Venezuela aux dépends d’une vision des Droits de l’Homme déformée par les Etats-Unis et de toutes les « mauvaises actions » chavistes dont ils ont envie. HRW suit simplement le fil argumentaire.

Auparavant, l’ONG avait fait la même chose en faveur de l’OTAN, contre la Libye et la Syrie. En 2017 Amnesty International (AI) avait publié un rapport intitulé «Human Slaughterhouse:Pendaisons et exterminations massives à la prison syrienne de Saydnaya» dans lequel elle affirmait que le Gouvernement syrien avait exécuté de 5 000 à 15 000 personnes en 5 ans. 

Ce rapport, déclaré faux par un ancien ambassadeur britannique en Syrie, se basait sur des sources anonymes à l’étranger, sur des rumeurs et sur l’usage douteux de photos satellites qui rappellent l’action de Colin Powell en 2003 destinée à justifier devant les Nations Unies les « armes de destruction massive » en Irak. Il y a de nombreuses expressions exagérées comme « tueur » « extermination » mais peu de preuves des graves accusations qui sont portées.

HRW s’est jointe à la campagne disant que le Gouvernement syrien avait utilisé du gaz de chlore contre les civils qui fuyaient Alep. Une fois de plus, il y avait peu de preuves de ces accusations mais on a su ensuite que c’était le Front Al Nusra qui avait attaqué les réfugiés d’Alep pendant qu’ils combattaient pour pénétrer les lignes de l’armée syrienne. Un jour, il y a un rapport sur l’exécution, un autre jour, sur les armes chimiques, sur des bombes le lendemain et ainsi de suite…

Ces fausses organisation ne mentionnent jamais le fait que la catastrophe humanitaire en Syrie a été provoquée par l’intervention de l’Occident et de ses alliés djihadistes qui décapitent.

Obsolescence programmée des Droits de l’Homme 

Le point de vue des organes multilatéraux comme la commission inter-américaine des Droits de l’Homme ou le bureau du haut commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme et les ONG étrangères comme AI ou HRW ont été d’exclure les violations commises par des acteurs non étatiques, une vision qui est devenue obsolète depuis la Convention de Vienne de l’ONU sur les Droits de l’Homme, en 1993 qui a reconnu explicitement le rôle des acteurs non étatiques dans les violations des Droits de l’Homme.

Ainsi a été reconnue l’influence du Gouvernement des Etats-Unis et de ses alliés sur les forces illégales comme la Contra au Nicaragua, RENAMO en Mozambique et UNITA en Angola dans l’application d’un terrorisme systématique contre la population civile.

Carlos Emilio López, un activiste des Droits de l’Homme et législateur nicaraguayen a noté que « la nouvelle conception des Droits de l’Homme est que les Etats doivent respecter les Droits de l’Homme mais que les entreprises, les églises, les organisations, les organisations sociales, les oligopoles, les médias, les personnes en tant qu’individus doivent aussi le faire. C’est à dire que nous sommes tous obligés de respecter les Droits de l’Homme, pas seulement les institutions de l’Etat. »

Chaque fois que ces institutions et ces organisations affirment que leur compétence exclut les acteurs non étatiques elles manifestent délibérément un déphasage de 30 destiné à se laver les mains des abus des acteurs politiques avec lesquels elles sympathisent.

Beaucoup de ces ONG à l’intérieur et hors des frontières vénézuéliennes ont été corrompues et cooptées pendant des années par leurs liens directs avec des acteurs importants de la mondialisation patronale et des opérateurs néolibéraux qui cherchent à saper et à réduire le rôle des Etats-Nation souverains. Dans le curriculum vitae de ses directeurs apparaissent des entreprises multinationales, des entreprises financières patronales ou d’autres ONG fortement financées par les entreprises.

Leurs activités en matière de Droits de l’Homme sont guidées par une gigantesque hostilité néolibérale envers les Gouvernements des Etats-Nation de sorte que leurs rapports se proposent délibérément d’exclure ou de discréditer l’information venant des Gouvernements ou d’autres sources officielles.

C’est pourquoi les soi-disant investigations de HRW révèlent au grand jour sa mission en tant qu’organisation au service d’un projet colonial.

 

Misión VERDAD

Source: Misión Verdad  – Traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos